Panorama de l'édition 2021

Les séances programmées

Ces traces qui restent | De Olivier Fély-Biolet | 2018 |  52min

Séance en présence du réalisateur.
Ouverte au public (4€ tarif plein | 3€ tarif réduit / carte de soutien)

Celles et ceux | De Maxime Boilon | 2020 | 52min

Ouverte au public

Un Sens à la vigne | De Stéphane Conchon & Sébastien Bouillé | 2020 | 52min

Ouverte au public (4€ tarif plein | 3€ tarif réduit / carte de soutien)

Les documentaires de l'édition

Ces traces qui restent

Olivier Fély-Biolet | 2018 | 52min

14 février 1942. Jacques, 15 ans, est arrêté par la feldgendarmerie à Compiègne pour détention d’armes. Il est successivement emprisonné à Compiègne, Amiens et à La Santé à Paris. Puis, personne ne sait ce qu’il devient : il disparaît. Jacques ne rentre pas à la Libération. Sa mère recherche sa trace pendant plus de 30 ans, en vain. Elle apprend seulement qu’il a été déporté depuis La Santé vers le camp de concentration d’Hinzert, en Allemagne. En 2015, Olivier Fély-Biolet s’est plongé dans les archives en quête du sort de son cousin. Il découvre son terrible parcours et pourquoi personne savait ce qu’il était devenu. L’histoire de sa disparition révèle un aspect méconnu du régime de terreur mis en place par Hitler, entre 1941 et 1944 : celui des “prisonniers NN”, les “Nacht und Nebel” (Nuit et Brouillard).

Celles et ceux

Maxime Boilon | 2020 | 52min

À l’origine, le petit village de Celles devait être englouti par les eaux du Lac du Salagou lors de sa création en 1969. À l’époque ses habitants ont été expropriés mais finalement avec grande surprise, le village n’a jamais été submergé. Inhabité depuis maintenant plus de 50 ans, les enfants de ce village meurtri, se battent pour redonner vie à leur petite commune. La Maire de Celles, Joëlle Goudard, et les conseillères municipales se mobilisent voilà plusieurs années pour faire revivre le village de Celles. Mais quel est le projet qui se propose d’accueillir des nouveaux habitants ? Ce rêve deviendra-t-il réalité ? 

Un sens à la vigne

Stéphane Conchon | 2020 | 52min

Les salariés des Hospices Civils de Beaune perpétuent un modèle hérité du Moyen Âge, un «hôpital vigneron». Beaune représente un cas unique au monde, en effet, les revenus d’une exploitation viticole permettent, pour l’essentiel, le financement d’un hôpital public. D’un côté, des technologies de pointe, de l’autre 60 hectares de vignes parmi les meilleurs crus qui soient : Puligny-Montrachet, Pommard, Meursault, Aloxe-Corton… et 5 siècles d’une union pour le moins singulière.  Chaque année, en novembre, se tient la vente de charité la plus célèbre du monde, au cours de laquelle est proposée aux enchères la production de l’année du patrimoine viticole des célèbres Hospices de Beaune. Immuablement ici, au fil des saisons, on soigne et on cultive….  

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